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POURQUOI VOTER NON ET FAIRE VOTER NON AU REFERENDUM DU 20 MARS 2016 (Par Alla KANE)

Voici la troisième chronique journalière promise. Elle va porter sur les candidatures indépendantes dans la perspective des deux projets


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NEGRES ARYENS

L’esclave est un travailleur non libre et généralement non rémunéré qui est juridiquement la propriété d’une autre personne et donc négociable, au même titre qu’un objet.


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SORXOLLE

Les dramatiques événements du 11 Septembre 2001 avaient servi de prétexte pour déclencher la guerre contre l’Iraq. D’abord déclarée « croisée » (contre l’islam ?) par l’intégriste Bush, puis politiquement rebaptisée lutte contre le dictateur Saddam Hussein alors accusé de détention illégale d’armes de destruction massive, l’esprit de croisée est resté même si la lettre a été peaufinée. Le sentiment exprimé ou réprimé des musulmans de la planète est que depuis lors,


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Le boulet de la fougue. (PAR SERIGNE FALLOU DIENG)

La contreperformance, de la marche de la coalition, s’explique par le fait que celle-ci est victime d'un "Effet ciseaux".


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Attaques terroristes à Paris : quelques questions (Par Bathie Ngoye THIAM)

            1) Beaucoup de médias français ont largement diffusé le témoignage d’un rescapé du carnage au Bataclan selon lequel, « les assaillants ont tiré en plein dans la foule en criant « Allah Akbar » et en faisant référence à l'intervention française en Syrie ».


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(Par Le Leadership politique en question en Afrique ou quels leaders pour une Afrique qui veut avancer ?)

Mandiaye Gaye a assurément  mal  à l’Afrique !  A travers son ouvrage construit autour d’une série de chroniques, il  laisse s’exprimer toute une colère et une amertume contenues  face à la situation économique, sociale et culturelle peu reluisante dans laquelle patauge le continent. Par un langage simple et accessible il n’aura de cesse de mettre l’accent sur  un  paradoxe désarçonnant qui voit aisance des élites au pouvoir  et pauvreté des populations  cohabiter si outrageusement. Voilà donc nous dit Mandiaye Gaye, un continent qui regorge  de richesses multiples et qui paradoxalement a du mal à subvenir aux besoins de ses populations démunies. Elles sont dans leur grande majorité confrontées à la faim, à l’analphabétisme, à l’absence de soins de santé au moment où leurs dirigeants baignent dans une opulence prébendière. 
Comme une causerie au coin du feu, l’auteur essaie d’expliquer, de convaincre de l’incurie des dirigeants africains, plus préoccupés d’asseoir une gouvernance résolument tournée vers le pillage des ressources nationales et la satisfaction de leurs désirs personnels. Parmi eux quelques noms tristement célèbres  sont convoqués, tels  Idi Amine Dada, Jean Bedel Bokassa, Mobutu Sesse Seko, Moussa Traoré, etc. Ce qui les caractérise selon l’auteur, est d’être « mus par une folle ambition  de pouvoir et d’enrichissement sans limites ». 
Aussi, constituent-ils à ses yeux  « une gangrène pour le continent africain ».  Avec en prime leur propension  à ne même pas envisager de quitter le pouvoir. Ils sont plutôt tentés, souligne l’auteur, par l’idée de « perpétuer leur règne par une succession dynastique du pouvoir pour leur progéniture ».
Se focalisant sur la situation particulière du Sénégal, l’auteur se désole du fait  que « ses dirigeants » sont toujours « à la quête effrénée d’argent t d’enrichissement illicite à tout prix ». Il dénonce la « transhumance qui perdure », l’existence d’une administration générale « sclérosée, archaïque et en panne d’éthique ».
L’auteur regrette que la rupture promise n’ait pas eu lieu et que perdurent les mêmes pratiques clientélistes. Ce qui rend vaines toute l’énergie et la mobilisation consenties pour l’organisation des Assises nationales. Il se désole aussi de l’impunité qui a fini de transformer  le pays « en cimetières des scandales, où  on les enterre les uns après les autres ».
De même, la connivence entre sphère politique et sphère religieuse est dénoncé, notamment « certains marabouts influents véreux »  qui ouvrent et protègent les détourneurs et osent même réclamer « une impunité totale sous forme de paradis définitif ». Ainsi va-t-il de la collusion entre le pouvoir temporel et le pouvoir spirituel au détriment du citoyen lambda. Il dénonce aussi le fait que le chef de l’Etat actuel s’inscrive dans le sillage de son prédécesseur en prenant les «  mesures qui lui plaisent et comme bon lui semble », à l’exemple «  de la suppression des impôts dus par les patrons de presse », lesquels sont pourtant des contribuables. 
Le réquisitoire de Mandiaye Gaye est sans appel puisque l’Afrique est  « malade de ses dirigeants cupides ». Et c’est ce qui explique cela. A savoir la situation difficile dans laquelle se trouve le continent  laquelle est révélatrice d’un véritable déficit de leadership.
Convoquant la figure archétypale de Nelson Mandela, il relève à la suite de ce dernier que : «le pouvoir doit être pour l’homme politique, un sacerdoce».
Mandiaye Gaye a assurément  mal  à l’Afrique !  A travers son ouvrage

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Citation

"Nous les êtres humains nous sommes coupables de nombreuses catastrophes dans ce monde, mais nous les êtres humains nous contunions à être l'espoir, et nous allons sauver ce monde avec Dieu à la proue ! "

 

"Nous voulons que le petrole Venezuelien soit utilisé pour la paix et l'amour, pour sortir plein de personnes de la misère "

Allo Président N 253

Chanmp Oicina Commune de Simon Rodriguez et Tigre, Etat d'Anzoategui, le 23 Avril 2006.

Hugo Chavez

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